(Im)Pertinences

La dure réalisation qu’on n’est plus une poulette du printemps se passe ainsi :
– On va faire comme Joe Bocan pis repartir à zéro.
– C’est qui, lui?

Sceau, sot, saut, seau. T’essaies d’expliquer ça à un Anglo. Tu te fais répondre So? pis tu sais pas vraiment qui a gagné.

Porter une perruque, ça te dispense-tu de porter une tuque?

Les grandes organisations corpos sont toutes décorées en bourgogne, ocre et vert forêt. Ces mêmes grandes organisations corpos sont aussi toutes dotées d’IE9. J’y vois le début d’un sophisme de mauvaise foi.

Mélanger ça pis sa, c’est comme mélanger chien pis venin.
J’vais aller promener le venin.
Ça a l’air épais, hein? Ben c’est ça.

Stimulus, stimuli. Bonus, boni. Autobus, autobi?

La nouvelle orthographe d’oignon, bien que logique, me laisse perplexe : ognon. On dirait que je suis pas prête à ça.

Les yogourts fruits au fond, c’est les IKEA des yogourts. Sauf que tu les paies pas moins cher même si tu dois les assembler tout seul.

Bar à ongles, bar à oxygène (on salue 2003 au passage), bar à riz, bar à beurre. Je vais même entrer barista là-dedans, juste parce que. Manque plus qu’un bar à oxygène urbain champêtre pis l’affront est complet.

J’ai le goût de me prendre un autre chat, juste pour le baptiser Alainzouvi.